REPONSE AUX OBJECTIONS
LE MOULIN EST TROP LOIN DU
BOURG
- il est exactement à 1 km
du bourg.
- Avantages : il
n’y aura pas de pétarades dans le bourg ; ce lieu de
réunion, comme le dit le tract ne gênera donc personne.
- Inconvénients :
c’est le point de vue, " moral "
1) ceux qui recherchent
le flirt le recherchent aussi bien à 1 km du bourg
qu’en plein milieu.
2) les points sur les i
ont déjà été mis à la première réunion générale du
vendredi 3 septembre : les 65 qui étaient présents ont
bien compris qu’il fallait se mettre d’accord sur
ce point avant de se lancer dans le projet, car c’est la
première condition pour réussir. Des jeunes de la région
nantaise, ayant leur salle de jeune, mettent à la porte ceux
qui flirtent : il faut adopter le même principe.
- Une éducation
intellectuelle ou morale, familliale ou sociale, ne se fait pas
dans l’abstrait : le problème des relations entre
garçon et filles ne se résoudra pas, surtout si on veux le bien
des jeunes, en cloisonnant le sexe masculin à gauche et le sexe
féminin à droite. Une intention saine, des activités saines,
et une ambiance saine feront naître automatiquement des rapport
sains : c’est en ayant des activités mixtes que les
garçons découvriront sous leur vrai jour les filles, et que les
filles connaitront avec un peu plus de vérité les garçons. Se
méfier de l’oisiveté : faire quelque chose ensemble.
- Etant donné que les
bonnes intentions ne sont pas toujours suivi d’effets :
1) si c’est une
question de confiance pour les adultes, et d’exigence
pour les jeunes,
2) c’est aussi une
question de règlement, d’horaires, à fixer en accord
avec la commission d’adultes.
- enfin, si on n'est pas
d’accord pour une maison à 1 km du bourg, comment serait-on
d’accord pour une maison intercommunale qui serait à 6 ou 7
km ?
IL Y A TROP DE REPARATION ET
DE FRAIS A FAIRE
- la municipalité a fait un
effort pour les loisirs SPORTIFS (terrain de foot), mais pas pour
les loisirs CULTURELS (bibliothèque, ciné-club par
exemple ; de plus, les filles ne vont pas jouer au foot !)
- il existe des subventions
de l’état, prévues dans le plan.
- la main-d’œuvre
sera assurée par les jeunes eux-mêmes :il est bien
évident qu’une telle entreprise n’est valable et
n’a de sens que si les jeunes mettent la main à la pâte,
de façon à ce que ce soit dès le début une
"activité " de jeunes, une affaire de jeunes pour
une maison de jeunes.
IL Y AURA DANS QUELQUES
ANNEES UNE SALLE INTERCOMMUNALE
- l’un n’empêche
pas l’autre : plusieurs conseillers, le 5 septembre ont
exprimé cette idée.
- vouloir construire une
maison des jeunes intercommunale sans consulter auparavant les
jeunes, sans que les jeunes en aient d’abord exprimés le
besoin, sans qu’il y ait à la base dans chaque commune
quelque chose de réalisé pour les jeunes, c’est du
PATERNALISME : c’est comme si les nations européennes
voulaient construire un parlement commun, alors qu’il
n’ n'en existerait aucun dans chacun des pays. C’est de
la mauvaise politique. – vouloir aider les jeunes – qui
en ont exprimé le besoin – à s’organiser d’abord
sur le plan communal, et vouloir avec eux une salle de jeunes
" communale ", c’est du réalisme et de
la bonne politique.
NE BRULONS PAS LES
ETAPES !
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